XxnemesisxX une vie parmis les morts

Mon histoire brakmarienne commence il y a fort longtemps sur un des ports de brakmar j ne sais plus lequel j etais trop jeune pour m en souvenir.
Mes parents etaient de puissants eniripsa originaire d amakna, tellement reputés qu ils etaient tres proche de devenir les soigneurs officiel du gouverneur.Mais pour cela ils devaient avant toutes choses surmonter les epreuves que tout eniripsas aspirant a ce poste devaient reussir .
La tache consitait a collecter des plantes aux vertues thérapeutiques dans les 4 grandes nations du monde et préparer la célébre potion d invincilitée pour le gouverneur .
Nous partions donc tous ensemble tres heureux et confaint pour la tache que mes parents devaient accomplir.Ils avaient decidé de finir leur périple par brakmar la grande car comme le dit le dicton :"faut garder le meilleur pour la fin".Tout ce passait donc fort bien pour eux ,je les regardais et apprennais beaucoup lors de ce voyage. Je vous passe nos visite a bonta et sufokia les habitants de ces contrées n ayant aucuns interets ..enfin c est ce que je pense maintenant.
Nous voici donc a la derniere etape de ce périple ,nous prenions le bateau au depart de sufokia et apres 6 jours nous arrivions en vue des cotes sombres et fumantes de brakmar.



C est ici que ma vraie vie commenca ,je ne le savais pas encore biensur et jamais je n aurais cru me plaire ni resté dans cette ville ni meme aimé cette nation,mais revenons en au fait.

Cette nouvelle vie commenca tragiquement.En effet a peine nous etions debarqué qu un groupe de sram sortient de nulle-part nous agressaient .Leur puissance etait bien plus grande que les pauvres srams sans ame des villes que nous avions visité, a croire que les vapeurs toxiques et l athmosphere malsains de la ville donnaient a ceux ci une puissance incroyable.

Mes parents tenterent l impossible pour me sauver des srams mais deux d entre eux sortaient de leur etat d invisibilité et poignardaient mortellement mes pauvres parents dans le dos ne leur laissant aucunes chance.Je ne du mon salut qu a un ultime sort que mes parents jeternt sur moi me permettant d ne pas subir les assauts perfides des nos agresseurs.

Apres quelques minutes a sacharner sur moi les srams qui se diputaient deja sur le partage du butin me laisserent en paix et me jeterent a la mer par depit.

Quelques heures plus tard les larmes ne coulaient plus sur mon visage et je repris mes esprits.
Comme la ville me semblait grande et dangeureuse!ma petite taille et mes ailes me permirent pourtant de passer inapercu quelques temps du moins...
Cela devait bien faire 2 jours que j errais dans les ruelles sombres et crasseuse qd je vis un homme fort vieux et en tres mauvais etat sous le porche d une maison de guilde.....



A suivre

Cool t'a vie... tu veux un sucre ??